Lundi
13 juin 2005

Nous passons la journée à régler les détails administratifs et profitons de la fin de l'après-midi pour nous baigner dans l'ambiance de la ville.

Au milieu de la foule bigarrée, du bruit, de l'odeur et du marteau piqueur, cette fois il n'y a plus de doute, nous sommes au Pakistan.

Au coucher de soleil, pour le bucolique, nous visitons la mosqué Faisal.

 
Mardi
14 juin 2005

Après une nuit réparatrice, nous apprenons que notre fret se balade encore entre la Suisse et Islamabad, il devrait arriver demain, Inch Allah!

Nous continuons les visites touristiques...
Visite des environs d’Islamabad. De jolies montagnes à 2500m, habitées par des singes, après quelques heures de minibus et quelques frayeurs lors des dépassements « There is a lot of crashes on holidays, but today we have luck ». Au retour nous visitons un marché touristique, nous sommes les seuls touristes occidentaux, sinon il y a beaucoup de jeunes mariés qui viennent passer leur lune de miel dans cet endroit.

Selon les dernières nouvelles notre fret se balade encore et n’est pas arrivé.

La Tourista commence à sévir à des degrés divers

Mercredi
15 juin 2005

Une partie de l’équipe retourne visiter Rawalpinidi, le marché est immense dans un dédale de ruelles entremêlées. Les autres essaient diverses techniques pour lutter contre les problèmes d’estomac, cela ne semble pas être très grave et nos petits problèmes sont certainement dus à la fatigue et l’excellente nourriture bien épicée.

Au soir il semblerait que notre fret soit arrivé, mais trop tard pour la douane, nous devons donc décaler encore d’un jour notre départ.

Jeudi
16 juin 2005

Ce matin, on est retourné dans la vieille ville (Rawalpindi) avec Mazal, Fred, Martin et Cedric.

Nous nous préparons tranquillement dans l’espoir de pouvoir partir ce soir. Nous profitons du temps à disposition pour dévaliser la poste des timbres pour les cartes postales.

Vers 15h00 tout notre matériel est là. Selon notre agent sur place, une partie des tonneaux a failli s’envoler pour Karachi. Cette fois nous sentons le départ proche.